La rentrée sociale française s’annonce sous haute tension. Le 10 septembre, syndicats, collectifs citoyens et organisations étudiantes appellent à une journée de grève générale et de blocages à travers tout le pays.
Le mot d’ordre est clair : « Bloquons tout ! » Une manière de dénoncer la politique du président Emmanuel Macron, accusé d’imposer ses réformes contre la volonté populaire.
Une colère accumulée
Hausse du coût de la vie, réforme des retraites toujours contestée, hôpitaux à bout de souffle, école en crise : les griefs sont nombreux. La mobilisation entend rassembler au-delà des clivages syndicaux et politiques pour paralyser le pays et contraindre l’exécutif à entendre la rue.
Des secteurs stratégiques prêts à agir
Transports, énergie, éducation, santé, sans oublier les routiers : autant de secteurs stratégiques où les appels à la grève se multiplient. Les organisateurs veulent une démonstration de force capable de rappeler les grandes mobilisations sociales qui ont marqué l’histoire récente.
Le soutien des partis de gauche
L’ensemble de la gauche politique apporte son appui au mouvement. La France Insoumise, le Parti socialiste, le Parti communiste et Europe Écologie-Les Verts appellent leurs militants et sympathisants à se joindre aux cortèges. Pour ces formations, il s’agit d’un combat commun contre la politique d’austérité et de régression sociale menée par Macron.
L’Élysée en alerte
Selon plusieurs sources, l’Élysée suit de près les préparatifs de ce 10 septembre. L’exécutif redoute un mouvement massif, potentiellement comparable aux Gilets jaunes ou aux grèves de 1995. Emmanuel Macron, déjà fragilisé politiquement, pourrait se retrouver face à une contestation d’ampleur nationale.
Un tournant pour la rentrée ?
Cette mobilisation du 10 septembre pourrait constituer le premier acte d’un automne social explosif. Si le mot d’ordre « Bloquons tout ! » est largement suivi, le gouvernement se retrouverait face à une épreuve de force majeure.
étudiantes appellent à une journée de grève générale et de blocages à travers tout le pays.
Le mot d’ordre est clair : « Bloquons tout ! » Une manière de dénoncer la politique du président Emmanuel Macron, accusé d’imposer ses réformes contre la volonté populaire.
Une colère accumulée
Hausse du coût de la vie, réforme des retraites toujours contestée, hôpitaux à bout de souffle, école en crise : les griefs sont nombreux. La mobilisation entend rassembler au-delà des clivages syndicaux et politiques pour paralyser le pays et contraindre l’exécutif à entendre la rue.
Des secteurs stratégiques prêts à agir
Transports, énergie, éducation, santé, sans oublier les routiers : autant de secteurs stratégiques où les appels à la grève se multiplient. Les organisateurs veulent une démonstration de force capable de rappeler les grandes mobilisations sociales qui ont marqué l’histoire récente.
Le soutien des partis de gauche
L’ensemble de la gauche Française apporte son appui au mouvement. La France Insoumise, le Parti socialiste, le Parti communiste et Europe Écologie-Les Verts appellent leurs militants et sympathisants à se joindre aux cortèges. Pour ces formations, il s’agit d’un combat commun contre la politique d’austérité et de régression sociale menée par Macron.
L’Élysée en alerte
Selon plusieurs sources, l’Élysée suit de près les préparatifs de ce 10 septembre. L’exécutif redoute un mouvement massif, potentiellement comparable aux Gilets jaunes ou aux grèves de 1995. Emmanuel Macron, déjà fragilisé politiquement, pourrait se retrouver face à une contestation d’ampleur nationale.
Un tournant pour la rentrée ?
Cette mobilisation du 10 septembre pourrait constituer le premier acte d’un automne social explosif. Si le mot d’ordre « Bloquons tout ! » est largement suivi, le gouvernement se retrouverait face à une épreuve de force majeure.