Dans une Haïti gangrenée par la peur, la corruption et l’alliance tacite entre pouvoir politique et chefs de gangs, une voix s’élève, droite et sans compromis : celle de Maître André Michel. Là où beaucoup courbent l’échine, pactisent dans l’ombre ou s’enrichissent sur le dos du peuple, lui reste debout. Sans pacte. Sans tâche. Sans peur.

Contrairement à de nombreuses figures politiques éclaboussées par des accusations de collusion avec les criminels, André Michel n’a jamais été cité dans aucun rapport officiel comme étant impliqué dans des activités de corruption ou de criminalité organisée. Ses prises de position constantes en faveur de la justice, de la réforme des institutions et de la lutte contre l’insécurité témoignent d’une volonté ferme de rupture avec les pratiques opaques du passé.

Dans un pays où la population réclame des dirigeants honnêtes et courageux, il incarne une rare figure de probité. [Même ses adversaires peinent à lui reprocher autre chose que ses choix politiques ]— preuve que, dans un paysage miné par l’impunité, sa trajectoire personnelle demeure, jusqu’à présent, remarquablement intacte.

En janvier 2025, il cosignait une lettre adressée aux autorités américaines, exigeant que des groupes comme « Viv Ansanm «  soient reconnus comme organisations terroristes. Il accuse ces gangs d’avoir transformé la capitale en zone de guerre, de terroriser les citoyens , de tirer sur des avions civils, et d’utiliser le sang comme outil de pouvoir.

Une initiative courageuse qui portera ses fruits. Le 2 mai 2025, l’administration de Donald Trump avait signé un décret classant « Viv Ansanm « et « Grang Grif « « comme organisations terroristes ». Une victoire pour la vérité, un revers cuisant pour les complices.

André Michel n’est pas simplement un homme politique : il est un rempart. Un mur contre lequel les mafias politiques et les chefs de gangs viennent se fracasser. Il ne négocie pas avec le crime. Il ne cherche ni faveur, ni protection. Son combat est frontal, brut, sans calcul électoral.

Alors que le peuple haïtien s’enfonce dans la misère et que les alliances criminelles prolifèrent, Maître André Michel demeure l’un des rares à incarner l’intégrité. Et dans ce théâtre macabre où règne la peur, sa seule présence dérange. Car il est la preuve vivante qu’on peut faire de la politique en Haïti sans se vendre.Sa voix reste celle d’un homme qui refuse de pactiser avec le mal, même au prix de l’isolement ou de la critique. Une rareté dans la scène politique actuelle.

Il avance seul parfois, mais jamais sans lumière.

By Tanes DESULMA

Tanes DESULMA, Rédacteur en chef d’Alternance-Media, je suis diplômé en journalisme de l’ICORP et en droit public de l’École de Droit de La Sorbonne. Passionné par l’information et la justice, je m’efforce de proposer un journalisme rigoureux et engagé.