Un Conseil des ministres se tient actuellement au Palais national.
Selon les informations obtenues par Alternance Média, plusieurs points sensibles figurent à l’ordre du jour, dont un projet de décret abrogeant :
le décret du 17 juillet 2024 portant création, organisation et fonctionnement de la Conférence nationale,
ainsi que le décret référendaire du 24 juin 2025.
Le gouvernement de transition prévoit également un arrêté nommant plusieurs directeurs généraux à la tête d’organismes publics.
Une source proche du Conseil présidentiel de transition (CPT) confirme que le cap sera désormais mis sur l’organisation des élections, sur la base de la Constitution de 1987, comme Alternance Média l’avait déjà révélé dans un article publié il y a plusieurs semaines.
Cette décision marque un retour à la légitimité constitutionnelle de 1987, après des mois de débats autour d’une réforme institutionnelle jugée opaque et controversée. L’abrogation des décrets de 2024 et 2025 pourrait ainsi ouvrir la voie à un nouveau calendrier électoral, mais risque aussi de raviver les tensions entre les partisans d’un changement de Constitution et ceux qui défendent la charte issue de la transition démocratique de 1987.
Un Conseil des ministres se tient actuellement au Palais national.
Selon les informations obtenues par Alternance Média, plusieurs points sensibles figurent à l’ordre du jour, dont un projet de décret abrogeant :
le décret du 17 juillet 2024 portant création, organisation et fonctionnement de la Conférence nationale,
ainsi que le décret référendaire du 24 juin 2025.
Le gouvernement de transition prévoit également un arrêté nommant plusieurs directeurs généraux à la tête d’organismes publics.
Une source proche du Conseil présidentiel de transition (CPT) confirme que le cap sera désormais mis sur l’organisation des élections, sur la base de la Constitution de 1987, comme Alternance Média l’avait déjà révélé dans un article publié il y a plusieurs semaines.
Cette décision marque un retour à la légitimité constitutionnelle de 1987, après des mois de débats autour d’une réforme institutionnelle jugée opaque et controversée. L’abrogation des décrets de 2024 et 2025 pourrait ainsi ouvrir la voie à un nouveau calendrier électoral, mais risque aussi de raviver les tensions entre les partisans d’un changement de Constitution et ceux qui défendent la charte issue de la transition démocratique de 1987.